Baignade qui finit mal (PV Soukan)

Maki se prenait gentiment dans la forêt. Il avait un magnifique ciel bleu sens nuages avec un soleil de plomb qui éclairait son visage. Il faisait atrocement chaud avec un vent chaud en plus. Maki avait amené avec elle son costume de bain et une serviette pour venir se baigner. Elle continua a admirer la nature qui était son milieux, depuis son enfance. Après plusieurs pas elle arriva finalement au lac. Elle fit un sourire de s'satisfaction, et fouilla dans son sac pour trouver son costume de bain. Mais elle vit qu'il avait un assez grand trou, pour laisser tomber son costume de bain.

*merde*

-oh...mais se baigner nue serait pas mal plaisant

Alors tous en regardant dans les environs elle ne vit personnes et décida de se déshabiller toutes en douceur puisqu'elle ne se sentait pas observer. Elle laissa la chaleur envelopper doucement son corps qui devenait petit par petit nue. Quand elle eut fini elle marcha lentement vers le lac toujours elle entra dans l'eau tiède mais qui apportait un grand bien. Elle entra entièrement dans l'eau mais elle revint au bord pour ensuite s'asperger le corps à moitié hors de l'eau. Elle prit des pogner d'eau qu'elle laissa doucement glisser sur son visage pour descendre a sa gorge et jusqu'a sa voluptueuse poitrine. Elle fit cela pendant plusieurs minutes et décida de sortir. Elle alla chercher sa serviette et s'essuya. Quand elle eut finit elle entoura sa poitrine et alla se coucher sur le sable chaud. Et fermi les yeux.

Une semaine, une semaine que k'était ici, mais si longtemps que je n'avait revus ma petite amie de la bas... Avant mon départ, je mm'était engeuler plusieurs fois avec mon oncle quelque smois auparavant, l'une de sdernieres disputes fut lorcqu'il avait apprit que j'avait une petite amie qui avait était contrainte à la prostitution. Non pas que cela lui déplaise mais j'était 'obligé' dépouser une riche? Décidément, je faisait tout de travers; Pourtant, l'éductaion à la domination des femmes; L'apprentissage de leurs seuls utilitées auraient du me faire comprendre que l'argent de leurs parents était l'une de leurs seules utilitées.. Autre que, celle de nous; Soulager et de; porter nos enfants. Voula ce que l'ont m'avait apprit dans le clan, depuis mon plus jeune age, etd epuis tout ce temps j'y avait résister au mieux, mais jeune, cela n'avait aps était facile.. Et j'avait obtenus une malheureuse dépendance sexuelle, l'absence de mon ex, certainement de retour dans son pays, rachetée par mon oncle et renvoyée chez elle. Cela m'était très pénible et je croit qu'en ce moment de la journée je n'était plus vraiment mo même, j'était moi oui, mais sans l'être. Difficile à explique, étrange sensation, je savait de quoi j'était capable, ce pouruqoi je m'était esclus dans al foret, en direction d'un lac border de sbale sur l'une de ses rives. C'est alors que lorcque j'arrivas, passant difficilement entre de haut buissons je me stoppa net, une poitrine rebondie, des cuisse, des hanche et un visage magnifique; Je sentit comme une étrange senscation monté en moi, que je connaissait depuis déja bien longtemps. Déja au bord de la rupture dans mon esprit, cela me fit lacher.. Elle c'était maintenant couchée sur le sable; Le spupilles étrécie je m'approchait à petits pas innodibles de la nymphe du lac.. Je l'enjamba sans un bruit et me laissa brusquement tomber à genoux, asss sur ses jambes et la tenant au poignet. D'un air à semi psychopate je lui dit alors avec un large sourire des plus effrayant..

"-Tu est belle.. Je te veux."

Maki était toujours coucher sur le sable quand elle sentit de l’ombre sur elle. Elle n’ouvrit pas les yeux puisque cette ombre c’était enlever. Mais elle sentit une pression sur elle et sentit que quelqu’un lui avait saisit les poignet. Elle ouvrit les yeux surprise et vit un regard psychopathe la regarder droit dans les yeux. Elle sentit une énorme frayeur la parcourir quand elle vit se regarda mais elle fut encor plus effrayée quand elle entendit ‘tu es belle…je te veux’. Elle qui n’était en costume de bain remarqua qu’elle n’avait, presque, rien sur elle. Et le jeune homme pouvait lui faire du mal. Mais elle ne peut s’empêcher de laisser partir une

-Quoi

Elle commença a se débattre et vit qu’elle n’était pas assez forte pour lui. Elle sentit entre ses jambe quelque chose de dure qui avait l’aire d’être étouffer par le pantalon du jeune homme puis elle dit

-lâcher sinon…

Elle ne fini pas sa phrase.

Je la regarda, droit dans les yeux, un large sourire au visage. Je la tenait et plus elle ce débatait, plus je resséra sa prise. J'était plus fort qu'elle, et J'avait bloquer ses jambes comme ses bras. ELle ne pouvait rien présentement mais moi non plus ne pouvait pas grand chose à moins.. A moins de lui casser un bras ? Mon sourire s'accentua, encore, et encore.. Oui, quelque chose de dure ce coller à la pauvre jeune fille, de compresser dans mon pantalon et cela comtroler completement mon esprit; Queleque chose que je libèrerai dès que possible. Alors que je venait de passer ses deux poignet dans une main (donc possibilitée pour elle de ce défendre avec les bras..); Je prit un petit anneau de métal dans ma poche et alors donc qu'elle me disait de m'enlever; Sinon.. L'anneau était dans sa bouche. L'empechant de parler, de ravaler sa salive (hyper frustran ) en fait, elle ne pouvait que gémir et hurler veinement. Chose qui m'excita encore un peu plus.. Cela mit j'emmena ma main sur le coup de la jeune fille et lacha completement ses bras..

"-Si tu te débat, je te tuerai.."

Je sortit alors de mes poches du parfait petit inspecteur (voir présentation, Soukan' et fan de sherlock holms ) Je sortit une petite paire de meunotte, obtenue par le biais d'un amis commissaire de mon père. Et les tendit devant les yeux de la jeune fille.

"-Met les toi !" Dis-je comme ordre tout en ressérant ma prise sur sa george, m'assurant qu'elle ne ce défende pas malgres ses bras valide. Je n'avait peut-etre pas de corde mais, si elle commencait à se résigner, elle ne me causerai aucun problème, serait facilement dressable et avec un oeu de chance, je pourai la revoirtant que je le voudriat sans que jamais elle ne ce plaigne à un quelquonque tribunal ou quoi que ce soit d'autres.. Elle deviendrait, mone sclave sexuel, que j'enfermerai même peut-etre dans cette cave au pensionnat ? Toute sses pensées me firent un peu oublié sa présnece et je resséra malgrès moi encore plus mes doigts autour de son coup avant de refixe run regard noir sur elle.

(mésant que c'est frustrant TT)

Maki se débâtait toujours, mais celui-ci lui dit que ci elle continuait il la tuerait. Alors elle se calma aussitôt. Plusieurs choses, je veux dire plusieurs scènes se passaient dans sa tête elle se voyait torturer, agresser sexuellement a chaque jours. Elle commença a pleurer et a paniquer, elle ne pouvait rien faire a part hurler, mais qui l'entendra, personne. Elle regarda pars la suite les menottes que le jeune homme lui tendait, il tenait toujours ses poignet, mais il les lâcha. Elle a eu l'idée d'aller chercher son canif dans son sac mais il était toujours sur elle et elle sous lui. Alors elle prit les menottes et les mit a ses poignet mais pas trop serrer pour qu'elle puisse enlever ses mains quand il sera le temps.

*il faut que je trouve une idée il peut me tuer n'importe quand*

Quand il eut son moment de réflexion elle regarda au tour d'elle et vit une roche pas loin juste au dessus de sa tête. Mais quand elle regarda derrière elle, elle sentit une pression sur sa gorge et c'est ce qui la fit gémir de douleur. Il serait tellement mais il ne lui bloquait pas la parole mais c'était douloureux pour la jeune fille. Alors elle gémit 2 3 fois avant de s'habituer a cette douleur. Et plongea son regard vert feuille dans celui du jeune homme. Elle voyait toute la folie, le désir et le sexe qui le guidait. En plus elle sentait toujours la bosse mais qui fleurait son clitoris c'est ce qui lui donna quelque frisson dans le corps qui était plaisant mais qui en même temps ne l'était pas a cause de la situation. Elle essaya de dire

-Alors tu veux faire quoi maintenant ?

Elle sentait une telle rage mais qui était dépasser par la peur. Il pouvait voir la confrontation dans les yeux de la jeune fille mais la peur la trahissait.

Aussitot, lorcqu'elle eue mise les meunotes je retira une de mes mains de la gorge de la jeune femme ;p Pour appuyer un bon coup sur les meunote histoire qu'elles se ressèrent presque au maximum. Je gromelas alors qu'elle ne els avait pas assez sérrer, tous en me rassurant sur le fait que moi; Je l'avait fait. Non, elle ne fuierais pas. Le smains ainsi, elle ne pouvait plus rien faire de risquer pour moi.. Mon sourire pervers s'accentua alors, mes pupilles s'étrécirente ncore plus alors que je sentait mon sexe bien à l'étroit.. AHhh, oui, très à l'étroit mais, son heure viendrait bientot, très bientot ! Je retira mon autre main de sa george, je vis alors la marque rouge qui e fit grimacer, comme me ramenant par cette seule marque de douleur à la réalité mais je passa bien vite outre cela. Je regarda allentours, l'herbe mouillée n'aufrait aucune défence mais cette pierre toute proche, quoi qu'impossible à attraper avec les meunotes me fit peur. La jeune femme articula tant bien que mal quelque smots malgrès l'anneaux (assez gros pour y passer un sexe d'homme ); Bavant plus que parlant; Je ricana alors un peu, ayant tous d emême comprit ses paroles. Elle me faisait pitié mais je ne tardera pas à me faire pardonner en lui donnat un semblant de plaisir.. Je me releva alors, me reculant tous en la retenant pour l'empêcher de fuir, la tenant aux cuisses j'emmena sans tarder mes lèvres sur son clitoris puisque seul s apotrine avait était protéger par la serviette et je ne l'avait 'ailleurs toujours pas retirer choses que je m'était dit faire un peu plus tard, que je lécha et bougeas du bout de la langue.. J'arrêta très vite pour répondre:

"-Devine.. Donne moi ton prénom, ton vrai prénom, et je te laisserai peut-être en vie."

Biensur, je ne comptait pa sla tué mais.. Elle avait si peur, elle ne pouvait me refuser cela dans le seule espoir de rester vivante malgrès le viol. Quoi qu'après elle penserai peut-être au suiscide; Cela sur le coup m'importais peu voir.. Pas du tout ! J'avait envis d'elle, et 'jaurai envis d'elle plus tard, au pensionat il y avait cette cave,j'y pensais, hj'y repensais.. Merveilleux endroit pour l'y enfermer. Et la maitre à mon service sexuel. L'assrevir, m'en faire une esclave sexuele, elle n'aurai plus de vie pour mon seul épanouissement.

Elle n'arrêtait pas de le regarder elle observais chaque geste chaque signe qui pourrais l'identifier ci elle en sortirais vivante et qu'elle se serrait échapper...enfin peut-être. Elle était vraiment effrayer et elle le devint encor plus quand elle le vit descendre. elle ouvrit grand les yeux et sentit sa langue jouer avec son clotoris. Elle ne pouvait surporter malgré le plaisir qui montait en elle. Elle voulu abandonner laisser le jeune homme se combler mais cette idée ne lui plaisait pas. Puis elle le vit monter la tête et lui demender son nom. Comme ci son nom pouvait interresser un violeur

-mon nom est vas te faire foutre

Elle sentait le jeune homme tenir ses cuisses mais pas ses jambes. Alors elle donna un coup de pied dans les flanc du jeune homme et un coup de genoux sur une tempe. Elle voulait maintenant sens aller mais il la tenait toujours malgré ses coups (j'espère que sa te dérange pas XD).

*il vas être furieux...merde*

elle sentit la freyeur monter en elle. Elle venait de le blesser et il sera surment furieux. Elle regretta son geste mais il y réfléchie et se dit que finalement il le méritait. Elle voulait se lever mais la grosse pierre qui juste en face d'elle était rendu sur ses menotte l'empêchant de se lever...voila pourquoi qu'elle ne pouvait bouger c'était pas juste le fait qu'il la tenait par les cuisses...

(désoler inspir zéro TT)

Alors que je m'occupait d'elle à ma facon psychotique; je sentit soudain un vioent coup, dans la seconde je me sentit comme mourir, elle m'avait taper la tempe ! Elle 'laurai payer cher, si cela ne m'avait remut les idées en place; Savait vous ce qu'est la Scyzophrénie ? La vrai ou la fausse ? la fausse, c'est mla double-personnalités et comme j'ai pas trouver le nom de la maladie de la double personnalité, j'apellerai donc ca Scyzophrénie ^^" Je fermat un instanct les yeux avant de les rouvrir.. Je pense, je suis sur même, que je 'navait plus le même regard, mes pupilles étaitd e retour à une taille normal déja et mon regard était, beaucoup expressif, moins opressant. Les yeux ronds, je regarda en face de moi.. Le sexe d'une femme ?! Une pensée atroce me traversat alors l'esprit, ce n'était pas la prmeière fois.. Et encore je revanait à conscience à temps, ou enfin.. Le mal était fait, en partie; Je n'ausai pas relever le regard vers elle mais j'étais obligé, et je le fit. ce ne fut donc que lorcque j'apercut sa bouche ouverte à cause de l'anneau.. Ses mains meunottées que je fut sur de ce qui ce passer.. ppourtant, j'étais sur, sur de ne plus être malade ! Je ne saittrop comment, mais, les larmes me vinrent aux yeux; La première fois, j'avait demandé à allait en hopital psychiatrique, la première fois ou j'avais crus en revenant à moi etre avec quelqu'und e conscentan.. Finalement ma famille me fécicita et me fit sortit de l'hopital, malgre smoi.. je n'étais pas majeur et sel mon père avait droit de m'en faire sortir ce qu'il fit sans hésitation. Et voila; après des mois sans ce problème, sans jamais me rêveiller dans un endroit inconnus,d ans une citiuation cocasse ou.. Dangereuse.. Peu importe ou j'en était, dans mes actes, même si je n'avait pas était, au dela.. ce que j'avait fait, je m'en voulait, déja à en mourir.. Alors je "bondit" (facond e parler hein) vers les meunotte que j'ouvrit avec les clefs et m'empressa dans l'enchainement de retirer l'anneau dans sa bouche et bien évidement; Je me redressa aussitot -Evitant au passage un acte de défence avec ses bras libres- j'eu un ou deux pas de recul, elle.. Elle elle ne pleurai pas, elle 'navait pas les larmes aux yeux, alors que moi; Si.. J'me sentait vraiment ridicul, dans cette situation, c'était plutot à elle de pleurer, ce pourquoi j'me retenait.. Je voulait fuir, oui, fuir.. mais si je faisait cela, non, je ne le voulait pas; Je voulait, m'escuser avant.. Cela ne changerai rien, rien de rien mais.. Je le voulait, vraiment, avant que, certainement, elle ne porte plainte.. Je n'y arrivais aps, comme je n'arrivais plsu à bouger; Terroriser que j'étais, terroriser par moi même; je lacha un "-Désolé.." très faible puis un second, beaucoup plus; Hum.. Fort ! Avantd e tomber à genoxu en larmes, prenant mon visage entre mes mains :lol:

Elle fut extrêmement surprise de le voir changer de regard en un clin d'oeil...En dirais que ses coups lui avait remit les idée en place et que maintenant il regrettait ce qu'il avait fait. Mais quand elle le vit bondir sur elle et retourna tout de suite dans le déspoire, mais elle sentit ses main se glisser dans sa bouche pour sortir la boule

*oh non il vas surment introduire son sexe dans ma bouche*

elle détourna les yeux puis elle sentit aussi ses mains libérer des menottes. Elle ouvrit ses yeux et le vit debout devant elle pret a quelque chose. Elle était sous le choc a peine 2 minute avant il la violait et maintenant il l'a libérait. Elle ne voulait pas l'attaquer elle se dit que sa servait a rien. elle se leva rapidement mit vite fait ses vêtements mais avant de partir elle entendit un faible ''désoler'' qui en disait long sur se qu'il ressentait

*est-ce encor une ruse*

Elle resta la a le regarder avec son sac dans les bras puis elle vit une larmes glisser sur sa joue et plusieurs autres la suivient. Sa tête lui disait de partir et d'alerter la police, mais son coeur lui disait qu'elle devait rester et le réconforter, même ci celui-ci lui avait fait du mal qu'elle s'en souviendrais toute sa vie.

*que faire ?*

Elle se sentit avancer d'un pas et décida de suivre son coeur. Elle resta éloigner d'un mètre et demanda

-ne pleure plus... stp ne pleure plus.

Puis elle s'approcha de l'homme qui lui avait fait du mal. Tous ce qu'elle avait ressenti toutes les scènes qui c'étaient passé c'était effacer. Maki était le genre de personne qui pardonne facillement. Pour d'autre c'est une faiblesse mais pour elle c'était sa force. Elle hésita mais elle décida de prendre un de ses mains pour voir son visage remplit de larmes. elle voulait enlever les larmes elle voulait lui dire d'oublier mais elle savait qu'il avait honte de lui et qu'il savait que tous était de sa phaute elle décida de le laisser sortir toute sa peine toute sa honte avant de lui parler.

(dit la ci il a un prob')