Sakuya débarque [libre!!]

Sakuya arrivait en taxi avec comme seul valise un petit sac contenant le strict nécessaire. Il s'était habillé avec une chemise noir à moitié ouverte et un pantalon de même couleur. Il avait mit du parfum qui se répendait dans le taxi, ça sentait une odeur douce et sucrée en même temps. Sakuya demanda au chauffeur de le laisser 800m avant le pensionnat, histoire de se dégourdir les jambes. Alors, il descendit tranquillement, il paiya et partit en marchant. Il faisait des pas lents, il prenait son temps il ne voulait pas se presser car il ne conaissait personne dans cet établissemnt et lui quand il ne connait pas, il se mefit. Il regarda les gens passait et la journée battait son plein avec un soleil brillant comme le feu et un ciel bleu azur qu'on aurait cru être en face de l'océan pacifique. Il sortit des lunettes de soleil noir de sa poche et les mit pour ne pas être trop éclairé par ce soleil éclatant de chaleur. Beaucoup de gens étaient dehors à cette heure de la journée et Sakuya se sentait un peu seul car il avait l'air d'être tous en harmonie et lui faisait tache. Mais, il se dit qu'après tout peut-être rencontrerait il des gens simpathique dans ce pensionnat. Sakuya arriva enfin à déstination. Il entra dans le hall mais il se sentit un peu perdu. Il regarda un peu dans tous les sens mais il n'y avait pas beaucoup de monde. Alors, il avança et alla se mettre contre le mur d'en face. Il s'y appuya et se dit qu'il attendrait quelqu'un qui voudrait bien l'aider à trouver son chemin que lui ignorait totalement. Donc, il posa son sac par terre et enleva ses lunettes qu'il replaça dans sa poche. Il attendit patiemment que quelqu'un daigne lui adresser la parole.

Une fois non loin du dit lieu, elle prit fermement dans sa main la valise et entama le reste du trajet pour arriver enfin a ce qui devait être ... Son nouveau "domicile" la jeune femme avait était acceptée en étudiante. Son pas était tranquille et elle gardait son expression de fierté qui l'avait accompagnée toute sa vie. Pour son arrivée, Yûki portait une légère robe blanche lui arrivant a l'articulation de ses genoux, dénudant ses fine jambes. Après seulement une dizaine de minutes, l'imposant bâtiment ou elle devait se rendre arriva. contre toute attente, un sourire vint se scotcher a ses lèvres, un sourire mi satisfait et mi mélancolique. Oui. Mélancolique repensant a la seule personne qui tenait a elle et l'avait si fortement défendue alors qu'elle était partie sans lui. Cet endroit était intéressant a première vue, et devait l'être a coup sur. Enfin devant la porte, soupirant doucement et relâchant le bagage, elle toqua et ouvras la porte avant d'y entrer et de constater que peu d'élèves était la, d'ailleurs c'est la seule chose qu'elle put voir car, avançant sans prendre garde a la ou elle mettait les pieds, elle butât contre quelques chose, ou quelqu'un, un jeune homme très exactement. Dans un "Aie!" distinctif, elle tomba net au sol, et posa un main sur son front fronçant les sourcils de douleur, elle leva les yeux et vit la personnes qu'elle avait accidentellement bousculé. La malle ne s'était pas ouverte, heureusement pour elle, assise sur les fesses elle se releva tant bien que mal et s'excusa au près de l'inconnu.

"Excusez ma maladresse, je n'avait pas fait attention a la ou je m'était les pieds."

Elle lui sourit avec douceur, bien décidée a laisser son mauvais caractère de coté.

(J'espère que tu ne m'en veux pas d'avoir répondue ^^")

[Non je ne t'en veux pas du tout^^ je suis content que tu es répondu!!]

Sakuya était dans ses pensées et regardait les gens passaient , qui rigolaient entre eux et parlaient. Il était un peu tristesse, un mélange de sentiment de mélancolie et de tristesse. Il repensa à son père, à sa mère et à ses frères. Cela le rendit nostalgique, il repensait à sa vie d'avant avec sa famille. Il se tapa la tête avec sa main comme un imbécile et se dit qu'il ne devait pas penser au passé mais se souciait de son avenir plutôt que ce qui c'était déjà passait. Sakuya regarda par la fenêtre et vit que le soleil brillait encore et le ciel était toujours d'un bleu éclatant tel l'océan où il aurait révait d'aller. Il sortit son portable de sa poche et regarda l'heure, cela faisait 15 minutes qu'il était planté là comme un piqué. Il sourit de sa bétise de rester là comme un débile pur mais il attendit encore un peu, qui sait?? on ne sait jamais si quelqu'un voudrait bien l'aider. Puis, il reporta son regard sur des jeunes filles qui passaient, puis des jeunes hommes qui semblaient parler de secret important tant il avaient l'air de s'amuser. Ensuite, il vit un jeune homme et une jeune demoiselle qui se tenaient par la main, qui rigolaient ensemble. Soudainement, il vit quelqu'un se tapper contre lui et tomber par terre. Il regarda la personne qui se tenait par terre et il vit une jeune fille. Elle s'excusa parce qu'elle ne faisait pas attention où elle allait. Il ne fit pas attention à ses excuses, il avait le réflexe d'être mystérieux et désagréable avec les gens qu'il ne connaisait pas. Mais, il se dit qu'il devait être gentil avec les autres pour ce faire des amis. Alors il lui dit:

Bonjour mademoiselle ce n'est pas grave, ça arrive à tout le monde!!

Sakuya lui fit un sourire pas du tout forcé ce qui surprit Sakuya et il prit la malle de la jeune fill en lui tendant de sa main gauche. Il attendit patiement la réaction de la jeune fille

(Tant mieux alors ^^ :p)

Une main qu'elle n'aurais pas pensée venir vers elle lui fut tendue, et son bagage pris par cette même main, elle repris doucement la fameuse malle et vit qu'il lui rendait son sourire par un autre. Yûki fut quelques peut surprise de la réaction de l'homme comme de sa propre réaction, lui ne réagissait pas par la colère et elle arrivait presque a être a l'aise.... Chose étrange pour elle, mais passons. Reprenant un peu d'assurance en elle elle finis par lui répondre en retour.

"Bonjour, oui mais ça n'aurais pas du vous arrivé, je suis ravie de vous rencontrez... On m'a nommée Yûki, Yûki Saënsai."

Yûki avait une vois douce mais déterminée, son air sérieux et son sourire la rendait aimable et sa tenue prouvait qu'elle semblait fragile. D'ailleurs, elle époussetât d'un geste rapide sa robe et regarda autour d'elle avant de reporter son regards sur le jeune homme, lui aussi devait être nouveau, peut être comme elle, perdue dans tant de couloir et d'espace pour si peu de présence pour un aide. Son caractère n'était pas d'un naturel toujours parlant, son mutisme lui était reprochée souvent bien que le chose que l'on lui reprochait plus était sa nostalgie et la tristesse dans son regards lorsque qu'elle laissait ses sentiments l'emporter sur elle.

"Vous savez où il faut aller ?"

Posant a ses pied la valise lourde pour elle, elle porta une de ses main a son collier et pressa d'entre ses doigts fins, le pendentif avant de le relâcher et de regarder le temps de dehors. Les gens dans cet établissements étaient si heureux que cela étonnait encore la jeune fille, mais cependant toutes ces personnes couraient et s'agitaient dans tout les sens se bousculant toutes a moitiés.

Yûki Saënsai s'appelait elle. Il la regarda elle paraissait fragile et elle épousseta sa robe qui était d'un blanc tel la neige que Sakuya aimait particulièrement. Alors elle lui demanda s'il savait où fallait-il aller! Il n'en avait aucune idée. Il était comme elle apparement nouvelle. Dans cet immense établissement Sakuya ne s'en sortirai pas de sitôt, lui n'ayant pas le sens de l'orientation aura surment du mal avec tous ces couloirs. Enfin bon, maintenant le plus important était de trouver où il fallait se diriger. Il regarda un peu partout comme il l'avait fait un peu plus tôt et apperçu des escaliers. Il se dit qu'il fallait peut-être prendre cette direction. Il dit à Yûki d'une voix simpathique et naturel ce qui le surprit encore:

Hé bien je ne sais pas trop mais si nous assaiyons cet escaliers, on verra bien!! Ceux qui ne tentent rien n'a rien!!

Il lui sortit se proverbe à deux francs cinquantes et il sourit de sa bétise profonde. Puis , il prit son sac et au passage la malle de la jeune fille en lui faisant un clin d'oeil d'amitié. Il commença à monter les escaliers et regarda une dernière fois par la fenêtre. Il vit le soleil encore haut dans le ciel qui était toujours bleu. Ensuite, il reporta son regard sur la jeune fille et attendit qu'elle se décide à venir.

Nomi armé d'un carteau à dessin immense revenait de la ville. Acheté du papier pour les élèves, c'est bien, mais encore il faut le ramener. Enceinte de six mois, Nomi se sentait comme une quille de bowling, chancelante...Elle entra dans le hall et manqua de buter sur un élève...

Hella, reste pas en plein milieu bon homme...

Nomi souria et pencha la tête sur le coté avec un air chaleureux...

Tient, des tetes que je ne connais pas...Vous etes de snouveaux?

Regardant l'escalier dont il venait de lui parler, elle lui fit un geste de la tête positif et sourit amusée au proverbe qu'il avait dit a la suite, il n'avait pas tords mais le contexte était comique pour elle. Pendant qu'elle regardait ailleurs, il prit sa valise et celle de Yûki en lui faisant un clin d'oeil, son sourire doux était renforcé et elle le suivit alors ensuite. Arrivée au pied de l'escalier, comme elle avait put le remarquer, beaucoup de monde couraient et se bousculé, et il semblait que c'était au tour de la douce petite Yûki d'en être le victime, un homme bien plus grand et plus lourd qu'elle passant la tamponna si bien qu'elle en fut presque écrasée contre le mûr, il se retourna comme pour jeter la fautes sur elle mais le jeune fille lui lâcha dans un claquement de langue.

"Ca vous arrive de faire attention pauvre bougre?! les bonnes manières vous connaissait ?! "

* *

L'armoire qu'était l'homme écarquille d'abords les yeux face a la réaction impulsive de l'étudiante et fis un pas en avant vers elle la fixant du regards et dans l'expression de ses yeux elle y vit de la haine, pourtant, il finis par tourner sur lui même et repartiir pour de bon, ce qui vallut a Yûki de se frotter le bras energiquement cette fois-ci et jetât un regard a celui avait qui elle était au départ.

"On va dire que j'aurais eut un journée mouvementée ..."

Pendant ce temps la, d'autre personne arrivaient dont une qui leurs adressèrent la paroles, au début elle le regarda puis répondit après un certains temps.

"En effet nous ne nous connaissons pas, je suis bien nouvelle."

Sakuya qui commençait à monter les escaliers suivit de Yûki, reporta son regard sur la jeune fille qui s'était faite bousculé par un homme hyper balèze. Il vit la jeune fille lui tenir et l'homme s'en alla. Sakuya se dit que Yûki malgrès son corps frêle elle avait du tempérament. Lui, il se regarda de la tête au pied et rit caril se dit que lui le tempérament c'était pas son truc. Mais bon , il fallait faire avec. Ensuite ce fut à lui de se faire bousculé. Il allait dire quelque chose d'éxtrémement impolie mais il vit que s'était une femme enceinte qui lui avait dit de ne pas rester en plein milieu de l'escaliers. En faite, elle avait totalement raison. Sakuya vit qu'elle leur demanda s'il était nouveau et Yûki déclara qu'elle l'était effectivement. Sakuya fit de même:

Bonjour madame, oui je suis nouveau et je m'appelle Sakuya Kurudo mais appellait moi Sakuya!!

Sur ces mots dit d'une gentillesse incomparable et un jolie sourire, il la regarda et la trouve jolie. Il trouvait ça adorable les femmes enceinte. Mais, il sa rappela que lui et Yûki cherchaient leur chemin. Alors il se décida à lui demander:

Je voulais vous demander! Où doit-on se diriger quand on est nouveau dans cet établissement s'il vous plait madame!?

Il regarda la femme puis Yûki et attendit la réponse de la femme pour savoir où se diriger ensuite!!

omi haussa un sourcil, comme si ele faisait un effort de réfléxion puis hocha la tete en souriant. Elle emarqua que la jeune fille n'avait pas l'air tres commode, en revanche le garcon était beaucoup plus agréable.

Oui bienur, en premier, les dortoirs je suppose...Alors Sakuya, d'où viens tu, quel age as tu et en quel année es tu?

Nomi se mt a gravir les marches en s'appuyant sur la rembarde...

Je suis Nomi Koan, professeur d'arts ici...Et toi demoiselle? Les memes quesions que ton ami!

Nomi était a joie de vivre incarné, souriant et chaleureuse, elle était une prof tres apprécié des élèves et cela se comprenez très vite.[/i]

Yûki soupiras de soulagement et regarda la femme enceinte qui était entrain de converser avec Sakuya, elle retrouvant peu a peu son sourire et ses attitudes de l'innocence et la fragilité même monta les quelques marches qui la séparés des deux autres. Prenant garde a ne pas encore tomber sur une personnes qui serais pire que celle qui venait de lui tuez le bras --'. Après elle les suivit en silence jusqu'à ce que la dame lui adresse la paroles, la encore, elle laissa un temps avant d'y répondre comme par habitude.

"J'ai 16 ans, je suis en quatrième année et je ne viens pas de très loin..."

Sans que Yûki ne l'ai remarquée outre mesure, d'après la femme, elle avait bien dit, même choses a ton ami, les montrer tel des amis était peut être un peu au dessus de cela, elle venait a peine de le rencontrer mais il semblerait qu'elle éprouve de la sympathie pour lui, ce qui pour elle n'était pas fréquent. Au bout d'un moment, elle regarda un court instant son bras, elle n'avait rien, continuant ensuite la monté des escalier, elle n'ajoutât rien et attendit les paroles des autres plutôt que les siennes.

Sakuya qui était là encore en plein milieu des escaliers regarda la femme. Il vit qu'elle venait de le bombarder de question. Il sourit et se décida à lui répondre:

Hé bien j'ai 16 ans et je suis en 4éme année!! Je viens d'une famille d'accueil dans ce pays nommé le Japon!!! Voilà!!

Sakuya avait dit ces mots avec beaucoup de gentillesse mais ses yeux bleus s'était ternis en disant qu'il venait d'une famille d'accueil. Cela le fit repensé à son passé mais il se retappa la tête avec la main ce qui le fit passait pour un imbécile, enfin, c'est ce qu'il pensait. Il vit que la jeune femme commencait à monter les escaliers et elle lui dit que c'était elle la professeur d'arts plastiques. En entendant ces mots il rigola car Sakuya chantait bien et connaissait bien la musique mais lui et le dessin ça faisait 1 milliards au moins. Ensuite, il lui dit:

Même si je ne sais pas du tout dessiné, j'assisterai avec plaisir a vos cours madame Nomi!!

Il lui sourit avec ses yeux bleus couleur de la mer et la suivit en montant les escaliers!!

Nomi s'insurgea, raaas ses élèves qui vous disent tous qu'ils savent pas dessinez!

L'arts ne vux pas dire etre bon dessinateur, c'est aussi dans la tete,avoir d el'imagination etre caable d'exprimer ce que l'on ressent d'aller au dela de spréugets!!!

Nomi se tourna vers la jeune fille qui semblait bien triste et terne, elle secoua la tete usé, plus tard elle lui parlerait, la, elle perdait son souffle en montant!

Alors, tu viens d'où du japon?

Elle s'adressait a Sakuya puisque manifestement l'autre ne voulait ps discuter!

Pendant qu'elle écoutait ce que disait Sakuya, sentit comme dans le grain de sa voix, que cela venait sûrement d'un moments triste ce qui lui provoqua également un sursauts de souvenirs, duquel elle soupiras longuement. Orpheline qu'elle était, aucun souvenirs de ses parents, rien, niet, pas même une images, un prénoms, une photo ou une lettre, seulement la description qu'en avait fais sa soeur, qui une fois avait trouvée une photo alors que Yûki elle savait qu'elle avait juste des parents adoptifs qu'elle haïssait profondément, la seule familles qu'elle avait eut, elle l'a perdue. Ne fixant que les marches elle ne levait plus le regards, un regards éprouvé et déprimée. A en croire ce que disait le jeune homme, il avait le même âge qu'elle et venait comme pas mal de monde, du japon. s'efforçant de chasser de si sombre songes de sa mémoire elle finis tout de même par relever le visage, mais une lueur persistait aux plus profond de son regards cuivré et doux, son visage délicats n'affichait plus grand sourire, elle se forçait a sourire mais sans grand succès.

Les escalier était bientôt terminée et elle commençait elle même a être essoufflée, pensant a l'art et au dessin pour oublier le reste, elle se demandait si elle irais y faire un tour, bien sur elle dessinait parfois, mais ses vulgaire croquis ne lui plaisait pas et elle ne comptait pas vraiment les faires voir, c'était personnels pour elle.

Sakuya avait l'impression d'avoir bléssé la jeune femme en disant qu'il ne savait pas du tout dessinait car elle lui répondit qu'il fallait avoir de l'imgination et tout ce qui s'en suit. Il pensa que peut-être Nomi n'avait pas tord et lui dit en lui souriant:

Peut-être vous avez raison mais moi j'ai de l'imagination et tout mais dessiner c'est pas mon truc je vous assure!!

En lui disant cette dernière phrase il rigola et il vit qu'elle lui demandait d'où il venait au Japon. Ses yeux bleu comme la mer se ternir comme un jour d'orage, son expression ne faisait plus ce sourir qu'il lui offrait plutôt. Puis il lui dit en essayant de se forcer à sourir:

Hé bien je viens d'une famille d'accueil de Tokio!! C'est bien Tokio mais ce n'était pas mon truc, enfin je veux dire que je ne connaissait personne alors ce n'était pas super.!!

[i]Il lui dit ça et la regarda en essayant de se forcer à sourir, puis il attendit la réaction de La professeur à son histoire!

il aparu deriere le prof d'art plastique
ta raison l'art permet de aprendre
dit t'il a son oreil

Sakuya qui était en train d'attendre la réponse Nomi vit un jeune homme se faufiler derrière Nomi. Il se demandait qui cela pouvait être, peut-être un ami de la jeune femme. Mais pour en être certain il fallait demander. Ses yeux redevinrent bleus comme la mer et il sourit à l'autre en disant:

Bonjour êtes vous un ami de Madame Nomi ou autre?? Sinon je m'appelle Sakuya Kurudo mais appelais moi Sakuya!!

Après avoir dit ces mots avec une gentillesse extrème , il remarqua que le jeune homme qui venait d'apparaitre ne semblait pas être un éléve. Peut-être était-ce un professeur ou autre. Enfin, il attendit que le jeune homme réponde. Tous ensemble maintenant il marchaient dans l'escaliers qui était bondé. Il repensa à ce qu'il avait il y a quelques minutes à la professeur et son visage et ses yeux redevinrent ternes. Mais, il chasa tout de suite cet pensée de sa tête pour ne pas paraitre mélancolique aux yeux des autres. Il tourna son regard vers Yûki qui était derrière, elle paraissait elle aussi mélancolique mais il n'osa pas lui demander. Peut-être n'avait elle pas envie d'en parler. C'est ainsi qu'il continuait à gravir les marches de cet immense escaliers.

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