voila la miene
akai tsuki wo akai tsuki |lune rouge au lune rouge
tsumi wo okashita monodomo no |les pêcher commis par les pécheur
kadera wo kiyomera akai tsuchi |seront effacer par la lune rouge
akai tsuki wo akai tsuki |lune rouge au lune rouge
tsumi wo okashita monodomo no |les pêcher commis par les pécheur
kadera wo kiyomera akai tsuchi |seront effacer par la lune rouge
koyoawa dare dare ga umare kawaru| se renaîtra se coir
calle d'avril
Aujourd'hui, une fois de plus, je me refuse de pleurée, refuse de me laissée allée, cette fois, c'est terminé, tout début a une fin, j'attrappe furtivement un couteau, énorme couteau de boucher métallique avec embout noir ébène, je le point sur mon avant bras, le laissant glisser, marquant une longue trace rouge, je dirige mon bras vers mes lèvres, et lèche sensuellement le liquide rougeâtre, quelques gouttes salée de couleur noir se mirent finalement a glisser lentement le long de mes traits de visage, je vais mal, ma respiration se fait saccadé, un long soupir se fit entendre dans la pièce, plus vide que jamais, l'écho se fait retentir, je monte d'un pas préssée les escalier, montant, haut....Très haut... Arrivée sur le toit de ce gratte ciel, il fait froid, ma légère tenue ne suffit pas a me réchauffée, j'en tremble, mais après tout, tout est terminé, je m'approche du vide, mes cheveux noir bleutée valsant dans le vent, formant une danse des plus parfaite, je respira un grand coup, un dernier coup l'odeur du mal être, me tourne doucement, et me laissa basculée vers l'arrière, personne n'est au courant non... Mon corp s'étale contre le béton, mon coeur cessa dès lors de battre, une énorme flaque de sang se déversa sur le sol, une foule de gens se formèrent autour de mon corp inerte....
selui de kaede
- Ce soir, le miroir de ma chambre ne reflete aucune image, plus aucun bruits ne se fait entendre, je n'entend plus les enfants jouer dans la rue, par ma fenetre meme si je sais qu'ils sont là, eux, ils sont encore là ...
Je me met sur mon bureau et, un crayon à la main, je commence à dessiner avec de l'encre rouge a mainsse la mine c est cassé.
Sais tu que ce que l'ont dessine est censsé etre de la crotte ? Mais moi je n'en ai plus et ce ne sont que des formes abstraites que je dessine, j'essai de crier, je veux crier, mais je ne le peux pas je rigole, personne ici ne m'entendra, pourtant il m'entendent quand même, je m'égosille pour toi est ce que tu m'entendras ?Non . Mon cri si grincant soit il se fraye un chemin parmis les odeurs d'e diarré et je sens deja leur plumes sales sur mon dos.
Sur terres comme sur mers, l'air m'ait maintenant insoutenable et la respiration si difficile ...
Pourtant, je continue de refleter ma propre ame sur cette feuille maintenant ruge sang Tous attendent le soleil, craignez le ou ne le craignez pas mais à présent, c'est dans mes mains qu'il brille, qu'il brule, de toute part, il me fait saigner mais la douleur que je peux ressentir à cet instant, n'ait rien comparé à ce que j'ai pu soufrire de toi.
J'ouvre mes mains, et dans mes paumes, le soleil briller toujours mais sur ton visage, il s'étale et le brule.
Ton équilibre t'a mené à ta perte et, doucement, tu t'allonge lourdement au sol comme si je devais revivre ce moment, je le veux mais aucune larmes ne coulent, et je te regarde pour la dernière fois.
Odeur de brulé dans l'air que je suis la seule à sourir, un enfant meurt.
Pouvez vous m'entendre ?
Pouvez vous me croire ?
Seulement, suis je avec vous, oui biensur ?
Plus un oiseau ne chante et pourtant il danse, j'entend une mere rigoler son défunt enfant.
Le soleil ne brille plus comme avant.
Du sang coule sur l'asphalte.
Quand je regarde vers le ciel, les étoiles ont peur elle se cachent elle rigolent,
Cette nuit, la lune est rousse, puis blonde et devint finalement brune, et sur son enfant, une femme pleure.
Mais l'étoile du matin me guide autre part, le chant crystallin des anges résonnent à mes oreilles, et jette sur mon visage affreux une vieille lumière, et je crie enfin non, je cri pa, je me lache et je vois au loin les mers de chocola, et les nuages en barb a papa ....
celuis de naru hisumaki
Je laisse aller mes mains
Sur ce corp qui n est pas mien
Je fais comme si rien était
Comme si rien ne se passé
J effacerais chaque momant de mon passé
Pour que tu vien les remplacé
J aimerais pourvoir te gardé
Pour continué a t admiré
Et laissé passé
C est moments a tes cotés