L'arrivée du Grand Frère...

J'était donc enfin arriver au pensionnat Hachiko. Mon oncle avait habillement manoeuvré auprès de mon père malade pour me faire partir, après l'engeulade que j'avait eu avec lui un mois auparavant et le froid qui c'était instajurer entre nous car je l'avait empêcher d'abatre sa femme, parcqu'elle lui avait avouer avoir aimer; Et rien de plus ! Un autre homme, quelques années auparavant... Ainsi donc, il m'avait fait partir prètéxtan que ma chère et tendre petite soeur, Sumiko, Souzoué; Etaits eule depuis trop longtemps: Soit presque une année complète. Que je m'éttait porter Garant d 'elle... Je soupiras, à cette pensée, j'était trop jeune à cette époque pour penser que cette idiotie m'envérai ici; Refusant qu'on la traite comme une moins que rien, j'avait donc mit toute ma confiance en ses actes. Et à deux, nous avionz prit bien des féssée, une petite révolution dans la famille, qu n'avait malheureusement servit à rien d'autre que de m'explure du coté fort du clan et à me rapprocher du coté faible... Un coté qui pourtant, pouraitprnedre le dessus n'importe quand, et d'ailleurs, pa suen seconde, ni une minute, je ne regrettait vraiment mon choix que de me porter garant de cette chère Sumi' et d'ailleurs... Il me tardait vraiment de la revoir, quoi que je devrait faire le point sur ses actes de l'année, la surveillée. Une bétise de sa part et j'en payerai les conscéquence sur l'héritage de notre père que Sumi ne savait d'ailleurs pas proche de la mort... Aucun homme ne pensait jamais à prévenir les femmes chez nous. Pas même moi, je n'avait pas penser à la pprévenir de mon arrivée. une sécurité que j'avait prévus au ca sou elle aurait des choses à me cacher, prise au dépourvue et puis, quoi que de mauvais gout, je voulais lui faire une surprise. car je savait qu'elle serait plus triste de me revoir que de l'inverse, mais moi, je serait vraiment heureux. Enfin, quoi qu'il en fut; J'était arrivé devant ce grand batiment après une heure et demi d'avion, suivis d'autant de temps dans le Txi. J'était éxcité, de revoir Sui', oui; Maisaussi parcque durant l'avion, par le biais de mon ordinateur portable, j'avait pus lire des articles très troublant sur le pensionnat. J'y enqueterai donc durant les heures de cours sur le fou sujet qu'était la mlagie. Au bien sur, je n'y croyait pas et s'il y en avait, alors ce serait un désasrte, puisque moi même je n'en avait pas. Mais, voila... La passion étant plus forte que tout. Trois heure de transport pour finalement être dépauser devant un Grillage, passant dans une cours je parvint devant deux grandes portes après avoir monter les escalliers devant celles-ci. De mon unique main libre, puisque de l'autre je tenait une valise brune, assez vieillote, en total concordance avec mes habituel vêtements. Enfin, j'ouvrit cette porte, pour découvrir derriere un Hall; Rien d'exceptionnel, sutout que j'avait déja pus le voir en photo, via internet. Je regarda allentours et me dirigeas vers un éspère de présentoir; Ou bien évidement, il n'y avait ni clochette, ni rien pour avertir d ema présence, le slieux étaient vide; L'acceuil laissé à désirer.

Sumi-chan comme l'appellait ces amis, et puis aussi un menbre de sa famille, un seul l'appeler comme sa, son grand frére, celui qui c'était battu a ses côtés quand elle était petite pour ne plus voir ses traditions ancestrales appliqué sur chacun de nous, il la protégait, elle le savait bien, mais maintenant elle était grande, elle avait 15 ans, c'était presque une femme, qui d'ailleurs était déjà passé par le pire. Son oncle lui avait fait promettre certaines choses, qu'elle n'avait pas pu tenir, toutes ses promesses était parti en poussiére avec un certain Mikashi, son ex petit ami ... Si quelqu'un en avait informé sa famille, son grand frére Soukan en aurait subi les conséquences, il s'était porté garant d'elle, elle devait donc montrait un comportement exemplaire et surtout ne pas s'approcher des hommes en général ! Quelques années plus tard elle devrat se marrier a un riche héritier, ou alors quelqu'un de sang royale, cela était convenu comme ca, il était hors de question pour sa famille que la fille qu'ils avaient le mieux éduquer, celle en qui pesait tout les espoirs, qu'elle se marie avec quelqu'un de basse classe, cela était inconcevable, mais elle c'était fait une promesse, si son mari ne lui plaisait pas elle s'en irait retrouvé l'homme qu'elle aime réellement !
Alors qu'un certain Soukan Suzue rentrait dans le penssionnat par la grande porte, elle elle sortait de sa chambre, vêtu d'une robe et d'un cache coeur, aujourd'hui elle ne devait pas sortir dehors et comme dans le pensionnat il fesait chaud elle ne risquait pas d'avoir froid, elle se dirigeait vers une salle de cour vide pour y retrouvé un de ses amis, une des nombreuses connaisances qu'elle c'était faite, elle avait beaucoup changé, avant elle était introverti alors que maintenant c'est tout le contraire ! Tout le monde la considérait comme une fille sympa, loyale, sur qui on pouvait compter.
Elle descendit donc les escalier pour se dirigeait vers cette classe, en bas elle se figea, le regard vide, certainement avait elle une hallucination, son frére Sou' était la, une grosse valise à la main, attendant quelqu'un à l'acceuil, elle se cachat dérière quelqu'un et lui ordonna de ne pas bougé, si il la voyait comme sa, en robe, s'en était finit pour elle ...

J'attendait depuis déja quelques minutes, quelques minutes de trop. Me demandant si l'éducation était bonne ici ? Si l'éducation du respect était enseignée; Car l'absence des gens de réscéption m'y faisait douté. peut-être devrai-je alors changer Su'chan d'établissement, ou tous du moins le propposer à mon hncle, ou mon père, celon celui qui accèptera de m'entendre propposer quoi que ce soit. Quoiqu'il en fut, j'attendait depuis déja cinq ou dix minutes, regardant ma montre, camouflée sous la manche de ma chemise et en partie sur mon unique gant blanc -pauser, en signe de rébéllion, à la mauvaise main, et gant d'une couleur froide au lieu du rouge traditionel- Lorcque soudain, j'entendit ENFIN, et à mon plus grand bonheur. je me retourna donc avec empressement, depuis longtempsdéja, j'avait laché ma valise. Pas que je fut de faible constitution, mais surtout de grande flemmardise. J'affihcer un grand sourire jusqu'a ce que je n'apercoive quelqu'un de maladroitement cacher derriere ce pauvre, jeune homme raid comme un piquet. Mais il était grand, avec un peu de poil à la moustache, un élève en année de maitrise, de toute évidence ! Je m'approcha donc de lui, mon sourire devenus un sourire en coin; Qui pouvait donc bien ce cacher derriere, sa, je le savait sans plus besoin de mots. Retirant mon unique gant ainsi que ma casquette, qtenant le tout de ma main droite je lui sérra la main, de la gauche. Bien que je ne douta pas qu'il fut d'un rang soscial moins élevé, je m'était avencé sans refflechir alors que cela aurait du être l'inverse; Derrière il y avait Suu'chan ! Poignée de main terminée, je lui fit délicatement signe de s'écarter puis, me courbant en avant, je tendit une main à ma soeur que je n'avait pas vus depuis un ans. Mais lorcque je ;la vis, je croit que j'exprima dans mon regard un air choqué ! Comment pouvait elle auser s'habilelr ainsi ? En la présence d'autres hommes et en l'absence de ceux de la famille ! C'était, incalifiable... C'était... Suu'chan ! Alors je forca naturellement mon sourire et me décida enfin à parler.

Soukan': "-Suu'chan !" Forcant mon regard sur ses vêtements. "-C'est... Trèsoccidental..." reprenant sourire je continua sur ma lancée. "-Mais c'est assez élégant pour moi. Je suis heureux de te revoir, Suu'chan !" Je fit une mine quelque peu attristée à ce moment... "-Mais il semble que toi tu ne le soit pas."

Son gant, posé a la mauvaise main, prouvé qu'il n'avait pas changer, toujours le même, fidéle a ses principes, combien de fois c'était-ils fait corriger parce qu'ils ne voulaient pas faire ce que leurs parents désiraient ? Certainement beaucoup plus que tout enfants, malgrès qu'il ne la protégeat au maximun elle ne pu échapé au mains de son pére et surtout de son oncle. Certainement qu'il l'avait vu car il se dirigeat vers le jeune homme dérière qui elle était caché, il lui serrat la main ce qui la choquat un peu, jamais il n'aurait fait sa, sachant encore plus qu'il était de rang inférieur ! Il poussat sans trop de méchanceté le jeune homme, un peu empréssé quand même, laissant découvrir une jeune fille a moitié accroupie, morte de peur, cachant tand bien que mal sa robe. Qu'est ce qu'il fesait la ? C'était son oncle qui l'avait envoyer ? Ou bien était-ce pour lui dire qu'on lui avait déjà trouvé un mari ? Tand de questions se bousculé dans sa tête.
Elle se relevat avec toute la dignité qu'elle avait, le visage haut mais les yeux a terre, tel était la coutume, ne surtout pas regardé un homme dans les yeux avant qu'il ne vous est dit bonjour. Il fit quelques commentaires sur ses vêtements et finalement elle relevat les yeux a la hauteur du corp de Soukan, il dit d'un ton faussement enjoué qu'il était ravi de la revoir, éducation obligé elle lui répondit sur un ton respectueux :

- Sa me fait plaisir aussi de te revoir Soukan ! Non, mais je ne me m'attendait pas a te voir ici ... Que fait tu ici d'ailleurs ?

Elle se mordit les lévres, c'était impolie de demandé sans qu'elle ni soit autorisé, dormalement elle aurait pu le dire sans retenu a son frére, vu qu'il se parlait beaucoup, mais si sa se trouvait une surprise pouvait en cacher une autres, peut être que son oncle ou encore pire son pére allait débarqué a tout moments, et la s'en était finit pour elle et ces belles études ! Elle arrangat sa robe et dit aux jeune homme qu'il était dispensé de rester, après tout maintenant il ne lui servait a rien de rester.
Je désignat de la tête les valises et lui proposat si je devait appeler quelqu'un pour l'aidé, ou même l'aidé moi même si il le voulait ...

Elle ne leva pas de suite le regard vers moi, ni ne prit ma main pourtant propposée en toute, amitié, si l'ont puis dire ainsi. Et cela me rendit un peu plus triste, de voir, de croire qu'elle me voyait identique à eux. Quoi que j'avait me smoments de folie, cela, c'était vrai mais... En général, j'avait toujoursfait de mon mieux pour résister à un mode d'éducation qui ne me plaisait pas, et elle n'avait nul besoin d'être, à ce point, soumise, devant moi. Elle était ma soeur et j'était son bourreau, d'une manière assez affligante, attristante et désapointante. Toute fois je resta avec un léger sourire au visage, ne voulant pas paraitre, encore plus dure que je devait deja le paritre... C'ets vrai, j'avait était maladroit sur sa tenue mais; Il fallait aussi me comprendre moi. Tout écart de sa part qui s'avérai être punni devait aussi m'être infliger, quoi que bien souvent en moindre mesure. Enfin, cela tenait lorcque j'etaitpetit. Je croit aussi que cela me poussa à contininuer dans cette vois de rebellion de mes pères; Ne comprenant pas pourquoi, dans mon esprit d'enfant: Elle avait plus, et pas moi ! Enfin, nous en étionz donc la, à une relation froide et stérille, je venait comme le messager de la mort, lui coupant les ailes à peine poussée. Mais, je devait être moins sévère que mon honcle, même si cela devait me faire manquer une partie de l'héritage... Jene voulait surtout pas replonger ma soeur, dans cette soumition dont elle c'était en partie extraite, quoi que je serait obligé, un peu. Obligé de rendre compte partéléphone chaque soir à mon honcle ou à mon père de la journée de ma soeur. Je devait être sur son dos celon eux. Quelques mensonges serez de mises mais les plus gros sujets, pour cela, je n'aurai pas le choix. Et pour d'autres d'ailleurs, je m'y incrusterai certainement volontairement. Quoi qu'il en fut, elle me répondit faussement, sans jamais me regarder dans les yeucx, Repausan mon covre-chef (casquette) et remetant mon gant, ,je détourna le regard ailleur, sans vraiment l'écoutai lorcqu'elle parla de mes bagage. Ce ne fut que lorcque je retourna mon attention sur elle que je daigna dire que non. Non, je n'avait pas besoin que l'ont m'aide à porter cette valise. J'emmena alors mon index et mon pouce sur le menton de ma soeur et releva un peu plus son visage en direction du mien avant d'ajouter d'une vois assez discrete.

Soukan: "-Ni notre père, ni notre honcle, ni personne d'autre que moi n'est ici. Tu peut me regarder dans les yeux, Suu'chan, sa me ferait vraiment plaisir."

Je retiras doucement sa main et ce retourna pour aller checher sa valise. Oui, lui même :lol: Tout en ajoutant plus fort, normalement en fait mais avec une pointe d'ironie dans la vois, il me semblat a ce moment que j'aurai voulus rire de mes paroles, même si intérieurement j'aurai voulus pleurer, pas pour ses mots, mais pour ce que je pensais en même te:mps que je parler.

Soukan: "-Notre honcle m'envoie m'assurer que ma chère soeur ne se, dévèrgonde pas. ou devrai-je dire qu'il ce débarasse de moi; Enfin, je t'éxpliquerai plus tard si cette histoire t'intérèsse."

Cette longue phrase, ce court monologue avait était d'une durée assez longue pour que j'attrape ma valise de ma main droite et que je ne revienne vers Suu'chan ! Reprenant la parole j'ajouta finalement.

Soukan: "-J'ai la chambre numéro, 12, aparrament, tu peut m'y conduir ?"

» grand prob
» le grand final...[PV]
» De grand changement
» Balade a grand air...[ Libreuh ^_^ ]